]]>
Here is in a few words the history of the presence of the Salesians in Haiti which merges, from the beginning, with that of an institution, the “National School of Arts and Crafts” in Port-au-Prince, better known as general name of “Saint John Bosco”.
In October 1936 President Sténio Vincent, who had seen the work carried out by the Salesians in the neighboring country, invited Mgr Pittini, Archbishop of Santo Domingo, to found in Port-au-Prince a work similar to that which the Salesians were directing. in the Dominican capital.
Also, the workshops, directed by young Italian Salesian masters, dynamic and competent, gave impetus to the National School of Arts and Crafts until it became the best professional school in the Nation.
We had to wait until 1951 to see the Salesians open a work in Pétion-ville and in 1955 to find them in Cap-Haitien in the “Vincent Foundation”, with the first parish dedicated to Saint John Bosco. in Haitian territory.
Currently, the sons of Don Bosco in Haiti number 71, grouped together in ten (10) communities:
Drouillard, Pétion-Ville, Thorland, Fleuriot, Gressier et l’ENAM.
Leur mission est, à travers l’éducation, d’accompagner et de former des jeunes, spécialement les plus vulnérables de notre société.
Aujourd’hui l’offre éducative des pères salésiens comprend :
L’Ecole professionnelle St. Jean Bosco de l’œuvre des Petites Écoles du Père Bonhen (OPEPB) offre une formation technique et professionnelle en 2 ans dans 10 filières :
Actuellement les Pères Salésiens de Don Bosco Haiti dirigent neuf Centres de Formation Professionnelle dans Cinq départements du Pays : l’Ouest, le Sud, l’Artibonite, le Nord et le Nord-Est.
Avec les BÉNÉFICIAIRES au niveau des Oratoires et Centres de Jeunes au nombre de 12,350 enfants, pour l’Ecole Fondamentale et Secondaire : 41,345 élèves dont 25,000 à l’œuvre du Père Bohnen et 8720 étudiants au niveau des Ecoles Professionnelles.
La Fondation Lucienne Deschamps est heureuse de décernée le Prix Humanitaire Lucienne Deschamps 2015 à la Congrégation des Pères Salésiens de Don Bosco pour leur œuvre dans le domaine de l’Education.
Young Women’s Christian Association (YMCA HAITI)
En 2007, un groupe de jeunes femmes professionnelles désirent investir leur temps dans des activités sociales pérennes pour venir en aide aux jeunes femmes démunies.
Elles s’organisent en fondation, développent des partenariats,
Elles établissement des bases de bonne gouvernance en regard à la
La vision de YWCA Mondiale et de la YWCA Haïti qui est celle d’un monde sans exclusion aucune, dans lequel la justice, la paix, la sante, la dignité humaine, la liberté et la préservation de l’environnement sont promues et soutenues durablement grâce au leadership des femmes.
La mission de la Fondation est de développer le leadership des femmes et des jeunes filles afin qu’elles aient le pouvoir d’effecteur des changements positifs dans leurs vies, leurs communautés et leur pays.
Elles octroient donc des bourses scolaires à des jeunes filles venant de milieux défavorisés
Elles développement un centre de leadership Academy pour les jeunes femmes de 18 à 30 ans – centre d’apprentissage au leadership – organisent des camp d’été pour 120 filles du Youth center
Elles forment environ 240 jeunes femmes par an venant de quartiers précaires : Martissant, Bel-Air, Bois Jalousie, Nerette, Morne Lazarre, Place Jérémie sur les thèmes comme l’environnement, l’entrepreneuriat et la santé sexuelle et reproductrice
Elles accompagnent et préparent 220 jeunes femmes pour le marché du travail.
Pour son travail de sensibilisation, d’éducation, et d’accompagnement psychologique et moral aux jeunes femmes des milieux défavorisés, la Fondation Lucienne Deschamps est heureuse de décerner à la Young Women’s Christian Association YWCA ‘le Prix Humanitaire 2015.
La Congrégation des Sœurs Salésiennes de Don Bosco ou Filles de Marie Auxiliatrice
Résia Vincent, sœur du Président Vincent, soutenant la politique sociale de son frère, participa activement à toutes les œuvres sociales du pays.
L’un de ses projets fut de bâtir un centre qui réunirait des enfants des deux sexes dans le quartier de la Saline. Pour réaliser une partie de ce grand projet, elle fit appel aux Filles de Marie Auxiliatrice, plus connues sous le nom de Sœurs Salésiennes de Don Bosco.
C’est ainsi que le 31 Août 1935, les premières sœurs Salésiennes débarquèrent à Port-au-Prince pour ouvrir leur toute première école dans le quartier de la Saline.
Les Pionnières
Les premières missionnaires furent au nombre de cinq accompagnées de Sr. Felicina Fauda, italienne, responsable de l’expédition.
A ses débuts, l’œuvre reçut uniquement des internes, toutefois, elle ne tarda pas à ouvrir ses portes à des filles qui, tout en demeurant chez elles, devinrent, durant les jours de classe, les bénéficiaires de la même éducation et formation professionnelle jusque là réservées aux internes.
Avec le courage et l’audace missionnaire de ces pionnières, de 1935 à la Saline, les Sœurs Salésiennes se sont établies en 1957 à Pétion-Ville, puis en 1962 au Cap-Haïtien et à Thorland en 1970.
Aujourd’hui elles opèrent dans des champs d’activités variées : éducation formelle, non formelle, alphabétisation ; formation professionnelle ; activités génératrices de revenu (AGR). Les activités (activités artisanales, culturelles, conférences, loisirs, sport, écologie) visent en général : la promotion de la femme; l’amélioration du cadre d’apprentissage et d’intégration des composantes culturelles, sociales et spirituelles dans la formation des jeunes.
Dans cette perspective, les communautés Salésiennes offrent le pain de l’instruction à travers:
Les Filles de Marie Auxiliatrice touchent directement un effectif de 18.000 enfants et jeunes environ avec la collaboration de 700 enseignants et collaborateurs laïcs.
La Fondation Lucienne Deschamps félicite la congrégation des Sœurs Salésiennes et est fière de lui décerner le Prix humanitaire Lucienne Deschamps 2015 pour son œuvre en Haïti.
Voici en quelques mots l’histoire de la présence des Salésiens en Haïti qui se confond, dès les débuts, avec celle d’une institution, l’ “Ecole Nationale des Arts et Métiers” à Port-au-Prince, plus connue sous le nom général de “Saint-Jean Bosco”.
En octobre 1936 le Président Sténio Vincent, qui avait vu l’œuvre réalisée par les Salésiens dans le Pays voisin, invita Mgr Pittini, Archevêque de Saint-Domingue, à fonder à Port-au-Prince une œuvre semblable à celle que les Salésiens dirigeaient dans la capitale dominicaine.
Aussi, les ateliers, dirigés par les jeunes maîtres salésiens italiens, dynamiques et compétents, donnèrent une impulsion à l’Ecole Nationale des Arts et Métiers jusqu’à la faire devenir la meilleure école professionnelle de la Nation.
On dut attendre jusqu’à l’année 1951 pour voir les Salésiens ouvrir une œuvre à Pétion-ville et à l’année 1955 pour les trouver au Cap-Haïtien dans la “Fondation Vincent”, avec la première paroisse dédiée à Saint Jean Bosco en territoire haïtien.
Présentement, les fils de Don Bosco en Haïti sont au nombre de 71, regroupés dans dix (10) communautés :
Drouillard, Pétion-Ville, Thorland, Fleuriot, Gressier et l’ENAM.
Leur mission est, à travers l’éducation, d’accompagner et de former des jeunes, spécialement les plus vulnérables de notre société.
Aujourd’hui l’offre éducative des pères salésiens comprend :
L’Ecole professionnelle St. Jean Bosco de l’œuvre des Petites Écoles du Père Bonhen (OPEPB) offre une formation technique et professionnelle en 2 ans dans 10 filières :
Actuellement les Pères Salésiens de Don Bosco Haiti dirigent neuf Centres de Formation Professionnelle dans Cinq départements du Pays : l’Ouest, le Sud, l’Artibonite, le Nord et le Nord-Est.
Avec les BÉNÉFICIAIRES au niveau des Oratoires et Centres de Jeunes au nombre de 12,350 enfants, pour l’Ecole Fondamentale et Secondaire : 41,345 élèves dont 25,000 à l’œuvre du Père Bohnen et 8720 étudiants au niveau des Ecoles Professionnelles.
La Fondation Lucienne Deschamps est heureuse de décernée le Prix Humanitaire Lucienne Deschamps 2015 à la Congrégation des Pères Salésiens de Don Bosco pour leur œuvre dans le domaine de l’Education.
Tout en faisant carrière aux Etats Unis, le Dr Ford n’a jamais oublié sa terre natale, Haïti.
Aussi le 22 mai 2015 ce fut une grande première pour Haïti. Sous le leadership du Dr Henry Ford, des bébés siamois ont été opérés à l’Hôpital universitaire de Mirebalais. Si une telle opération aurait été réalisée aux Etats-Unis elle aurait coûtée près de US$500,000.00 ce que les parents, Manoucheka et David Bernard n’auraient pas pu avoir, condamnant ces siamois à vivre dans leur état une existence précaire. Grâce au dévouement et au dynamisme du Dr. Ford, entourée d’une solide équipe de médecins conquis à sa cause, voici ces siamois devenus deux jumelles qui resteront bien sûre inséparables mais pourront dorénavant avoir une vie normale.
La présentation qui suit nous permettra de mieux découvrir le Dr. Ford et sa contribution au sein de la communauté haïtienne.
]]>
Le jury, en accord avec la Fondation Lucienne Deschamps et la Maison Henri Deschamps, a aussi décidé d’octroyer une mention spéciale à Monsieur Jean Billy MONDÉSIR pour son texte « IL FALLAIT VENIR UN SOIR » qui a retenu l’attention de tous les membres par le caractère ambitieux et l’originalité du projet d’écriture.
À titre informatif, les quatre (4) autres manuscrits finalistes pour le prix littéraire Henri Deschamps 2015 étaient (par ordre alphabétique):
• Basilic Jazz, roman de Gérald Barreau
• Le Triangle et le Cercle, roman de Milady Auguste • Rires et pleurs d’Amalia, roman de Carine Williama • Séquelles, roman de Miranda Abichet Turko
Le jury du prix littéraire Henri Deschamps tient à remercier chaleureusement tous ceux et celles qui ont participé au concours 2015. Les manuscrits reçus témoignent cette année encore de la vivacité, du dynamisme et des potentiels de la production littéraire haïtienne.
La remise officielle des prix aux lauréats se fera au cours d’une cérémonie qui se tiendra durant la deuxième semaine de novembre. Les deux lauréats recevront chacun un cachet et bénéficieront de l’édition et de la publication de leur ouvrage par la Maison Henri Deschamps.
Fait à Pétion-Ville, le 5 octobre, 2015
Pour le Jury du Prix Littéraire Henri Deschamps.
Evelyne Trouillot, Présidente
Françoise Thybulle, membre
Kettly Mars, membre
Gary Victor, membre
Rodney Saint-Eloi, membre
Vilaire Chéry, membre
Marie Laurence Jocelyn Lassègue, Secrétaire générale
]]>Telechargez le formulaire d’inscription ici: EHD inscription_concours-dessin
Reglements 2015
]]>Créé en 2010, le Prix Humanitaire Lucienne Deschamps a pour but de faire sortir de l’ombre ces personnalités et organisations à but non lucratif qui œuvrent pour l’amélioration du sort du peuple Haïtien.
Cette année, la Fondation Lucienne Deschamps honore :
Le Centre Saint-Vincent pour Enfants Handicapés
« Pour son travail de prise en charge et d’intégration des enfants handicapés dans la société »
Créé en 1945 par la religieuse épiscopalienne Sister Joan, le Centre Saint-Vincent pour Enfants Handicapés lutte depuis 69 ans pour l’intégration des personnes handicapées dans la société Haïtienne. Aujourd’hui, c’est l’établissement de référence en matière d’éducation des aveugles, des sourds et des handicapés moteur et mental. De plus, il accueille dans son internat, 70 enfants qui viennent de la province. Ces élèves sont logés, vêtus, et soignés à l’année longue par le Centre.
En faisant preuve d’ingéniosité, les professeurs de Saint-Vincent transforment les manuels scolaires traditionnels pour palier au manque de matériel didactique adaptés aux handicapés et suivre le programme du Ministère de l’Education Nationale. Preuve de la qualité de l’enseignement dispensé, le Centre Saint-Vincent a obtenu un taux de 100% de réussite aux examens de la sixième année et un taux de 90% aux examens de la neuvième année fondamentale en 2013.
Le Centre Saint-Vincent est bien plus qu’une école, c’est également une clinique spécialisée. Les handicapés viennent des dix départements du pays pour obtenir des services médicaux de qualité à coût réduit.
Depuis le séisme qui a causé de grands dommages aux structures de l’établissement, le Centre Saint-Vincent fait face à de nombreuses difficultés. Situé au bas de la ville, dans la zone décrété « cité administrative » par l’Etat, le Centre Saint-Vincent fait face à l’expulsion.
En dépit de toutes ces difficultés, Saint-Vincent poursuit sa mission. Il veut contribuer à la création d’un langage des signes Haïtien et veut l’enseigner aux professionnels des différents secteurs d’activité de la société parmi d’autres projets.
La Congrégation des Sœurs de Saint Joseph de Cluny en Haïti
« Pour son engagement sans relâche à fournir une éducation de qualité aux jeunes Haïtiennes et Haïtiens »
La congrégation des Sœurs de Saint Joseph Cluny a été fondée par Anne-Marie Javouhey en 1807. Présente à travers les cinq continents, elle est active en Haïti depuis le 5 juin 1864.
Aujourd’hui, elle compte une vingtaine d’écoles et plus de dix mille élèves issus de différents milieux. Un fond de parrainage alimenté par les anciennes de Sainte-Rose de Lima et d’autres donateurs permet à des centaines d’élèves de condition modeste d’avoir accès à une éducation de qualité.
Bien que l’éducation soit sa principale mission, la congrégation des Sœurs de Saint-Joseph de Cluny s’adonne également à la pastorale sociale et offre des soins de santé avec deux dispensaires qui desservent des communautés désavantagées comme celle de Saint-Antoine à Port-au-Prince.
Depuis 1893, les sœurs de Saint-Joseph assurent la gestion de l’Internat Sainte-Madeleine pour jeunes filles orphelines ou déplacées. Un nouveau local devait héberger une centaine de pupilles de l’internat à Bourdon, mais le séisme de 2010 causa des dommages irréparables au bâtiment et il a été déconseillé de reconstruire sur le site.
Toutefois, les Sœurs de Saint-Joseph de Cluny ne baissent pas les bras. Après une longue recherche, elles ont fait l’acquisition d’un terrain de 2 carreaux à Morne à Cabrit, à proximité du Village Lumane Casimir. Aujourd’hui, elles recherchent activement des fonds pour achever la construction du nouvel internat Sainte-Madeleine.
FONDATION SEGUIN
« Pour son travail de sensibilisation, d’éducation, de protection et de préservation du Parc la Visite »
En 2004, seize jeunes professionnels consternés par la dégradation rapide d’un de leur site naturel préféré, se réunissent pour sauver le Parc Nationale la Visite.
En effet, la Fondation Seguin, n’arrête pas de tirer la sonnette d’alarme depuis maintenant 10 ans L’enjeu est de taille car le Parc Nationale La Visite est un véritable réservoir d’eau pour les départements de l’Ouest et du Sud-est avec 80 sources. Nommée « réserve de la biosphère du Massif de la Selle » par l’Unesco, les douze mille hectares de superficie du parc abritent maintes espèces d’oiseaux, de batraciens, et de reptiles rares et endémiques. De plus, elle recèle de nombreuse grottes et gouffres à découvrir.
Pour combattre le déboisement entrepris par la population de la zone, la Fondation Seguin s’allie aux chefs d’associations paysannes et aux élus locaux pour arrêter la destruction systématique d’espace de foret en faveur de la culture maraichère.
Elle contribue à la formation de chefs forestiers et de techniciens agricoles pour la gestion du Parc et d’une pépinière d’une capacité de 350,000 plantules par an. La Fondation Seguin forme également des guides spéléologues locaux dans le but d’encourager l’exploration des grottes du site, participant ainsi à la promotion de l’Eco-tourisme responsable.
Elle engage les paysans dans son programme de reboisement et la construction de murs secs pour combattre l’érosion. La Fondation fait encore appel à eux pour l’entretien des routes d’accès entre Furcy et le Parc la Visite. Elle montre ainsi à la population locale comment la protection de la nature et une exploitation responsable des ressources naturelles est génératrice de richesses.
Aujourd’hui, la Fondation Seguin compte une quarantaine de membres actifs et se donne pour défi d’augmenter la capacité de sa pépinière à 1.5 millions de plantules par an d’ici à 2015. Après le « sac écolo » vendu dans les supermarchés de Port-au-Prince, et la campagne « un maillot, un arbre », la Fondation Seguin présente cette année le livre « Ensemble, sauvons le Parc la Visite » pour sensibiliser et récolter des fonds au profit de ses projets.
HAPPY HEARTS FUND
« Pour son engagement dans la construction d’infrastructure scolaire en Haïti pour un développent durable»
Happy Hearts Fund œuvre exclusivement dans les pays victimes de catastrophe naturelle. Une fois que l’aide d’urgence post désastre se retire, la Fondation intervient en construisant des écoles solides afin qu’aucun enfant ne soit privé de l’espoir d’un avenir meilleur que seule l’éducation peut lui apporter.
La présidente de cette organisation a elle-même survécue au tsunami de décembre 2004 de l’Asie du Sud-est et a été témoin de l’oubli dans lequel tombent les enfants après les premiers mois d’aide humanitaire. En effet, dans certains villages de la Thaïlande, il a fallu plus de 6 ans pour que les écoles soient reconstruites. De ce fait, les élèves de ces communautés ont doublement souffert du Tsunami.
Forte de cette expérience, Madame Petra Nemcova, ressortissante Tchèque, met sur pied en 2005, Happy Hearts Fund. Dix ans plus tard, la Fondation est déjà rendue à la construction de sa 100eme école et est présente dans 9 pays.
En Haïti, suite au séisme de 2010, Happy Hearts Fund a construit 6 écoles desservant 3,388 élèves de différentes communes telles Cité Soleil, Jacmel, et Delmas. Grâce à des méthodes innovatrices de mobilisation de ressource, des fonds ont déjà été récoltés pour la construction de 6 écoles additionnelles.
Soucieuse d’impliquer la communauté et ses leaders dans ces écoles, Happy Hearts Fund établi des partenariats avec des institutions locales dès la première phase de la construction jusqu’à la gestion quotidienne de l’établissement.
De plus, tous les établissements scolaires bâtis par Happy Hearts Fund respectent les normes nationales et internationales de construction et sont conçues pour servir de refuge à la communauté en cas de catastrophe naturelle.
HOPITAL BERNARD MEVS
« Pour avoir rendu des soins médicaux de qualité accessibles à toutes les bourses »
Dans un pays ou le système de la santé publique est défaillant et les soins médicaux gratuits quasi inexistants, l’Hôpital Bernard Mevs se distingue par la qualité des soins médicaux dispensés mis à la portée de toutes les bourses.
Il se distingue également par la variété de services offerts tels : soins intensifs, service d’urgence, traumatologie, chirurgie, d’orthopédie, laboratoire, radiologie, traitement du cancer du sein et du VIH, entre autres. De plus, l’Hôpital possède le CT scanner le plus sophistiqué du pays. Plus de 3,500 patients sont traités mensuellement à cet hôpital à un coût subventionné à plus de 50%.
Crée en 1994, par la famille Mevs, L’Hôpital contribue à la formation de professionnels de la santé Haïtiens et de l’étranger à travers un programme d’échange avec des universités et hôpitaux des Etats-Unis. Le centre accueille également un programme de résidence en pédiatrie d’une durée de trois ans.
En dépit du financement de différents partenaires, dont l’Etat Haïtien, le budget pour pérenniser ces différents programmes et services demeure l’obstacle numéro un de cet hôpital à but non-lucratif.
Mais loin de se laisser abattre, l’Hôpital Bernard Mevs est en pleine campagne de levée de fonds pour construire le centre de soins intensifs le plus sophistiqué du pays. Une fois achevée, ce centre offrira les services de soins intensifs du plus haut niveau de toute la Caraïbe.
JACQUES BOURJOLLY JUNIOR
« Pour son engagement auprès des enfants démunis par le sport »
Voir sourire les enfants est la motivation de Jacques Bourjolly Junior, mieux connu sous le nom de Kako.
En effet, Monsieur Bourjolly se dévoue à rendre heureux les enfants défavorisés, notamment à travers le sport, car pour lui le sport est une méthode d’enseignement des grandes valeurs de la vie telles, le travail d’équipe, le vivre-ensemble, le sens du travail bien fait, l’écoute de l’autre, la discipline, et l’auto détermination.
Apres avoir connu une certaine notoriété comme comédien, Kako crée en 2008, The Smile Project, le projet sourire. Il entreprend avec ses partenaires, une grande campagne de collecte de jouets afin de les distribuer à plus de 1000 enfants démunis répartis dans quatre orphelinats de l’aire métropolitaine. L’opération connait un grand succès et encourage M. Bourjolly à poursuivre dans cette voie.
Suite au séisme du 12 janvier 2010, il entreprend une deuxième campagne mais cette fois-ci, il s’agit de chausser 3,000 enfants. Kako et son équipe visitent 7 orphelinats et prennent les pointures de chacun des enfants afin garantir à chaque bénéficiaires des baskets à sa taille.
Depuis ces deux premières initiatives, Jaques Bourjolly Junior poursuit différents projets dans les domaines de l’éducation et du sport. Qu’il s’agisse de rénover le gymnasium Vincent du Cap-Haitien ou d’équiper les dortoirs et la cuisine d’un orphelinat, ou encore de restaurer le terrain de jeu du Lycée de Petionville, il s’engage dans la communauté avec des actions concrètes.
En 2012, les projets de Jaques Bourjolly Jr. passent sous l’appellation Kako’s Kids. Cette année, pour la 3eme année consécutive, il a accueilli 120 enfants des rues et orphelins dans un camp de basketball. Ces bénéficiaires ont ainsi acquis les notions de base du basketball et ont reçu un repas chaud à chaque rencontre.
Conscient de l’impact positif que l’action d’une seule personne peut avoir sur son entourage, Kako encourage d’autres volontaires a s’engager. Il cible particulièrement les adolescents de milieu aisé afin d’éveiller en eux la conscience civique et citoyenne.
C’est dans cet esprit qu’en 2015, Kako lancera en Haïti, le projet « Gran fre, Ti fre » en partenariat avec le Centre d’Accueil de Delmas. L’objectif de ce projet est d’associer un mentor à chacun des adolescents du centre pour les accompagner, les conseiller, les inspirer à prendre en main leur vie.
Pour joindre vos efforts aux nobles activités des récipiendaires du prix Humanitaire Lucienne Deschamps 2014, vous pouvez les contacter aux numéros de téléphone suivants :
Centre Saint-Vincent pour Enfants handicapés : (509) 2940-1015/3788-0434
Congrégation des Sœurs de Saint-Joseph de Cluny : (509) 3910-5778/3738-1546
Fondation Seguin: (509) 2813-1347 / 3449-7445
Happy Hearts Fund : info@happyhearts.org
Hôpital Bernard Mevs: (509) 3701-0149 /3838-7655
Jacques “Kako” Bourjolly Jr: kako.bourjolly@gmail.com
]]>De gauche a droite: Evains Weche-laureat 2013, Gary Victor, Rhoddy Attilus-laureat 2014, Kettly Mars, Peter Frisch, et Vilaire Chery
La Fondation Lucienne Deschamps et le Jury du Prix littéraire Henri Deschamps ont l’immense plaisir d’annoncer au grand public, aux amateurs de littérature haïtienne et à tous les candidat(e)s écrivain(e)s que l’œuvre gagnante de l’édition 2014 du Prix Deschamps est « KÈKÈT AK JANMARI », le roman de l’auteur Rhoddy ATTILUS, du Cap-Haïtien, à qui a été décerné le prix par une majorité de 4 voix contre 3.
Ce roman écrit en créole a attiré l’attention du Jury par la nouveauté de sa langue, qui manie à la fois richesse et sobriété, humour et réalisme, et une grande finesse dans le traitement psychologique des personnages. Dans son roman, l’auteur, Rhoddy Attilus, présente une tranche de vie capoise et un tableau des rapports entre vie urbaine et vie rurale dans un grand Nord qu’il offre aux lecteurs(trices) dans toute sa complexité, ses charmes et ses contradictions.
Le Jury a également décidé d’accorder une mention spéciale au roman finaliste « Requiem naïf pour Honorine » de l’auteur Rousseau BLAISE (Issy-les-Moulineaux, France) pour sa belle maîtrise du genre romanesque et son écriture attachante.
Pour cette édition 2014, la Fondation Lucienne Deschamps a reçu un total de 56 manuscrits. Les membres du Jury du Prix littéraire Henri Deschamps ont eu, encore une fois, à se pencher sur des textes d’une très grande facture. Quatre (4) manuscrits étaient en lice avec l’œuvre gagnante. Il s’agit de :
– Requiem naïf pour Honorine:
Auteur : Rousseau Blaise, Issy-les-Moulineaux (France)
– Le Cimetière des miraculés :
Auteur : Jean Néhémy Pierre, Saint-Denis (France)
– Journal d’un porté disparu :
Auteur : Jean David Mezy, Montréal
– L’amour est bleu :
Auteure : Farah Angela Jean, Pétionville
Fait à Pétionville, le 27 octobre 2014
Pour le jury du Prix Littéraire Henri Deschamps
Kettly Mars, Présidente et
Marie Laurence Jocelyn Lassègue, Secrétaire du Prix
André Vilaire Chéry, membre
Rodney Saint-Éloi, membre
Françoise Beaulieu Thybulle, membre
Évelyne Trouillot, membre
Gary Victor, membre
Évains Wêche, membre – lauréat 2013
La Société Haïtienne d’Aide aux Aveugles (SHAA) a inauguré leur bibliothèque sonore, le 13 mai 2014, au local de la bibliothèque Roger Dorsinville sis au 12, Rue Rocourt à Delmas 31 et nomme l’espace dédié aux collections sur le handicap en l’honneur de Lucienne Deschamps, épouse d’Henri Deschamps.
En effet, la Fondation Lucienne Deschamps (FLD) a accueilli avec beaucoup de joie la nouvelle de ce grand honneur car elle a été l’une des premières institutions à apporter sa contribution à la dite bibliothèque en octroyant à la SHAA, en 2007, le droit de convertir les ouvrages scolaires des Editions Deschamps en braille.
La Fondation intervient ensuite auprès des auteurs de littérature jeunesse afin de permettre à la SHAA de produire des versions sonores de ces ouvrages sans verser de droit d’auteur. En 2009, la FLD a tenu à soutenir l’École Spéciale des Cayes en faisant don de photocopieuse et machine à écrire braille, fournitures, manuels et matériel scolaires adaptés aux non et malvoyant-es.
L’appui de la FLD à la SHAA se poursuivra en 2014 avec la mise à disposition du studio d’enregistrement de la Maison Henri Deschamps pour la production gratuite de livres sonores.
La FLD est fière de s’associer à l’Union Européenne, la Bibliothèque Sans Frontière, la FOKAL entre autres institutions, pour supporter la SHAA dans la production d’ouvrages sonores pour une meilleure intégration des déficients visuels dans les sphères éducative et culturelle.
Devenez un donneur ou donneuse de voix pour alimenter le fond le la bibliothèque sonore. Pour en savoir plus, cliquez ici.
M. Jefferson, le directeur de la bibliothèque sonore de la SHAA assisté par le technicien du studio d’enregistrement de la MHD, M. Roy
Evains Weche, lauréat 2013 du Prix Deschamps pour son recueil de nouvelles, “le trou du voyeur” enregistre la version sonore de son ouvrage sous l’invitation de la FLD dans le cadre de la collaboration de la FLD avec la SHAA
]]>Le jury prend plaisir à rappeler que le ou la gagnant-e du Prix littéraire Henri Deschamps recevra une prime de cent-cinquante mille (150,000.00) gourdes. Il ou elle bénéficiera de l’édition ainsi que de l’impression gratuite de mille (1000) exemplaires de son ouvrage accompagnée d’un an de promotion. Il ou elle occupera également pour une année la fonction de juge au sein du jury du prix littéraire.
Le titre du manuscrit gagnant sera annoncé au cours du mois de novembre prochain. La remise officielle du Prix se fera lors d’une cérémonie qui se tiendra au mois de décembre 2014.
La Fondation Lucienne Deschamps et le jury du Prix littéraire Henri Deschamps tiennent à remercier tous ceux et celles qui ont participé au concours 2014. Le nombre d’inscrits et la qualité des manuscrits reçus témoignent de la créativité et de l’intérêt que porte le public pour la littérature en général et la littérature haïtienne en particulier.
Cependant, quatre (4) dessins ont particulièrement retenu l’attention du jury grâce au choix du sujet et la finesse du dessin. Il s’agit des dessins de:
1) Yvica Charles-Marc, les Tainos, 2e AF
2) Onsley Aristide, Collège Notre-Dame des Petits, 6e AF
3) Mathias Tolédano, Lycée Alexandre Dumas, 9e AF
4) Sophia Boyer, Sacré-Cœur, 3e secondaire
En plus du kit de dessin offerts aux 36 participants à l’exposition, les douze gagnants et leur écoles reçurent chacun un bon d’achat. Les 4 grands gagnants reçurent un kit de dessin, un bon d’achat et une tablette tactile.
Les participants au concours de dessin se servant a la collation préparée a leur intention.
Les 36 participants a l’exposition de dessin accueillie par l’institut Français en Haiti.
Les douze (12) dessins gagnants.
Les douze (12) gagnants.
Tels sont les objectifs du concours Ekip Mevey la initié par Western Union et ses agents locaux.
L’Institution Boisrond Tonnerre (IBT), école gagnante du concours « Ekip Mevey la » a atteint ces objectifs. Le dimanche 11 Mai 2014, l’IBT organisa la finale d’un championnat de football à Santo. Ils sortirent vainqueur (5-3) face à l’école village SOS.
Grâce au financement de la Western Union et à la gestion assurée par la Fondation Lucienne Deschamps l’Institution Boisrond Tonnerre a pu renforcer son programme sportif en faisant l’acquisition d’équipements pour leur équipe de football et leur meneuses de claque.
L’école bénéficie également de trente (30) tablettes tactiles avec une connexion internet destinées à l’usage exclusif des élèves. Afin d’améliorer l’apprentissage des élèves les tablettes sont munies du logiciel de la RETEL, un support pédagogique interactif. Trois (3) ordinateurs et une connexion internet seront remis à la direction de l’école
A l’occasion de la journée mondiale du livre et du droit d’auteur, la Fondation Lucienne Deschamps apporte son appui à deux instances : le Bureau Haïtien du Droit d’Auteur (BHDA) et SELAKOUN’.
En effet, fidèle à sa mission de promotion de la littérature et la sauvegarde du patrimoine culturel Haïtien, la FLD octroi à travers le BHDA une bourse de cent mille gourdes (100,000.00) à une étudiante de faculté de droit qui aura choisi d’écrire son mémoire sur le droit d’auteur en Haïti.
La Fondation est également heureuse de s’associer aux activités de sensibilisation portées par SELAKOUN. Une conférence-débat, un spectacle, et des causettes sur le droit d’auteur, telles sont les moyens utilisés par cette jeune organisation pour attirer l’attention du public et des pirates de propriété intellectuelle en particulier sur la problématique du droit d’auteur en Haïti.
]]>
]]>
Découvrez avec le livre “Les grottes du Sud-est d’Haïti…un patrimoine à préserver” [de Carole Devillers], un patrimoine souterrain méconnu, d’une très grande richesse tant sur le plan esthétique que culturel, archéologique et géologique. Autant qu’une aventure spéléologique, c’est une hymne à la beauté naturelle d’Haïti qui vous est présentée à travers ces photos.
]]>Le Nouvelliste | Publié le : 03 décembre 2013
« C’est dans le but de sortir de l’ombre ces personnes et ces institutions que la Fondation Lucienne Deschamps créa en 2010 le prix humanitaire Lucienne Deschamps. Ce prix vise à honorer les personnalités et institutions qui, par leur courage, leur dévouement, leur abnégation, contribuent à aider et à soulager la communauté haïtienne. Ce soir, pour la quatrième année, nous tenons à honorer et surtout à encourager cinq institutions qui dans leur champ respectif d’activités, s’impliquent de manière concrète pour améliorer les conditions de vie dans leur communauté », a déclaré solennellement au Karibe, le vendredi 29 novembre, la vice-présidente de la Fondation Lucienne Deschamps, Chantal Guilliod.En effet, la fondation a récompensé cinq récipiendaires : les Centres GHESKIO, l’Association haïtienne de football amputé, l’école de musique de Sainte-Trinité, l’école de Choix de Mirebalais et l’école communautaire de Matènwa.
Les Centres GHESKIO honorés:
En prélude à la célébration de la journée mondiale du sida, la fondation a jeté son dévolu cette année sur les Centres GHESKIO, au nombre des cinq récipiendaires. La directrice de la Fondation Lucienne Deschamps, Jennifer Plantin, a présenté cette célèbre institution en ces termes : « Avec plus de 30 ans d’expérience dans les soins, la recherche et la formation sur le sida et la tuberculose, les Centres GHESKIO, reconnus de par le monde, sont une source de fierté nationale. Dans les années 80, ils jouent un rôle instrumental à l’élimination de ‘’Haïtien’’ dans la liste des 4 H alors attribuée à la maladie maintenant connue sous le nom de sida, restaurant ainsi sa dignité au peuple haïtien. En 1984, à travers des recherches scientifiques rigoureuses, les Centres GHESKIO identifient les transfusions contaminées comme principal mode de transmission du VIH et conviennent avec le MSPP de confier à la Croix-Rouge haïtienne le monopole des transfusions sanguines pour un meilleur système de contrôle. » La présidente a souligné l’expertise des Centres GHESKIO qui s’étend bien au-delà de la recherche sur le sida pour offrir des services de santé globale. Elle a souligné la mission actuelle de cette institution qui priorise les services tels que la santé maternelle et infantile, la santé et la protection des adolescents, le support nutritionnel, l’éducation, pour ne citer que ceux-là. Très touché par ces honneurs, le Dr William Pape des Centres GHESKIO a vivement remercié la fondation pour ce prix humanitaire et a profité de cette cérémonie pour renouveler sa confiance à son personnel et ses partenaires, dont le ministère de la Santé publique, la fondation Merieux et l’université Cornell.
L’AHFA récompensée
Présentant l’Association haïtienne de football amputé (AHFA), le secrétaire du conseil d’administration de la fondation, Peter Frisch, a souligné que l’équipe de ces footballeurs a vu le jour à la suite du tremblement de terre du 12 janvier 2010. « En réalisant des matchs de démonstration, l’AHFA sensibilise la population haïtienne au sort des amputés tout en témoignant qu’une vie pleine est possible pour les personnes handicapées. » Prenant à son tour la parole, le président de l’AHFA, Bruny Pierre Richard, a félicité la Fondation Lucienne Deschamps. Pour lui, le travail du comité est récompensé par ce prix qui est « celui de tous les membres : amis, supporters de l’association qui œuvre bénévolement pour l’inclusion des personnes à mobilité réduite ».
Des écoles honorées
Autre récipiendaire : l’école de Choix de Mirebalais. Pour le journaliste Rotchild François Junior, ce choix a été fait parce que « c’est une école fondamentale trilingue fondée sur quatre piliers : éducation élémentaire de qualité, leadership, implication communautaire, compétences de communication ». L’école de Choix veut offrir d’autres possibilités aux enfants démunis qu’elle accompagne gratuitement.
L’école communautaire de Matènwa , elle, a été désignée selon Frisch, parce qu’elle présente « un projet intégré qui englobe de manière systémique l’agriculture, la nutrition, l’environnement et l’éducation sur l’île de La Gonâve». D’autre part, « elle s’est engagée à répondre aux besoins spécifiques de sa communauté en dispensant les cours des quatre premières années de l’école fondamentale en créole, la langue maternelle. Des jeux didactiques, des campagnes de reforestation et un jardin communautaire font partie du curriculum de cet établissement », a-t-il dit.
Au service de la communauté haïtienne depuis 57 ans, l’école de musique de Sainte-Trinité, a souligné Jennifer Plantin, est composée du célèbre orchestre philarmonique, de trois chorales et de dix orchestres. Elle compte près de 2 000 élèves dont 40% bénéficient de bourses complètes et 48% de demi-bourse. Ceux qui ont bénéficié d’une demi-bourses paient irrégulièrement leur quote-part, faute de moyens. Elle a salué la politique appliquée par cette institution qui priorise les talents et rend accessible à tous une formation en musique classique de qualité.
Claude Bernard Sérant
Mme. Guilliod, Vice-presidente du conseil d’administration de la Fondation Lucienne Deschamps
Gauche a droite: Mme.Low, Dr. Pape, M. J. Deschamps, M. Frisch, et Mme. Plantin
de gauche a droite: Dr. William Pape, Dr. Deschamps des Centres Gheskio, M. C. Deschamps et M. J. Deschamps
Il récompense une œuvre de grand public, écrite en français et/ou en créole, sur un thème de la littérature de fiction : roman, poésie, essai de fiction, conte, nouvelle, critique littéraire ou théâtre. Il peut également couronner une œuvre à caractère historique.
Les objectifs du Prix littéraire Henri Deschamps sont les suivants :
Un jury composé d’intellectuels du pays proclame annuellement et depuis environ vingt et un ans et en toute indépendance, le prix Henri Deschamps (Voir les règlements).
Actuellement, les membres du Jury sont :
Jury (2013)
Mme Kettly Mars, Présidente
Mme Evelyne Trouillot
Mme Françoise Beaulieu Thybulle
M. Andre Vilaire Chery
M. François Benoit
M. Gary Victor
M. Rodney St Eloi
Secrétaire du Prix Littéraire Henri Deschamps :
Mme Marie Laurence Jocelyn Lassègue
Membres d’honneur
Mme Paulette Poujol Oriol (dcd en mars 2011)
Mme Madeleine Gardiner
M. Georges Convington
M. Franck Etienne
Mme Charlotte B. Cadet
M. Pierre Buteau
M. Claude Pierre
Ouvrages primés :
1976 1977 1978 1979 1980 1981 1982 —- 1983 1984 1985 1985 1986 1987 1992 1993 1995 1995 1996 1997 1998 2000 2001 2001 2002 2003 2004 2005 2005 2006 |
Alice Hyppolite Dr Marc Pean Leon Laleau Benoit Joachim Paulette Poujol Oriol Madeleine Gardiner André Georges-Adam —————– Claude Dambreville J.J. Dominique Michel Monnin Paurice Jn Baptiste Marie Vieux Jacques Godard Guy Laraque Me Rock J. Raymond Cuckeita Bellande Pierre-André Voltaire Antoine Auguste Daniel Supplice Gisele Lebon Juliot Jn Pierre Edith Lataillade Geneviève Gaillard Vanté Sagine Jean Paul Ghislaine Rochelin Roussan Camille Fahimy Saoud Jn Pierre Gisele Applon Michèle B.Chassagne |
Ninon, ma sœur L’Illusion héroique Œuvre poétique Les Racines du Sous-Développement en Haïti Le Creuset Visages de femmes, portraits d’écrivains Le Gouvernement de Sylvain Salnave au sein de la Crise de 1867-1869 Un goût de fiel Mémoires d’une amnésique Manès Descolinnes Nan lombray inosans Amour, Colère et Folie Pourquoi les campêches saignent-ils ? Sur la Poésie Mademoiselle Valentine Porte Sauveur Le Dernier boat people Mystifié Karioka Histoire d’une famille L’année d’Isabelle Martinez Les yeux du chat Les Ombres du temps Une femme, une vie Une mère haïtienne Œuvre poétique L’aube après la nuit Croisière pour dame seule Contes des mille et un jours |
Actuellement, Mme Carole DeVillers a repris le projet mis en veilleuse après le séisme du 12 janvier 2010, et se prépare, toujours avec le support de la Fondation, à publier un livre « Les Grottes d’Haïti »
Le Conseil d’Administration à finalement fait choix de 8 récipiendaires qui ont reçu le « Prix Humanitaire 2010 » :
L’Association de Hôpitaux Privés d’Haïti pour l’ensemble des Hôpitaux Privés Haïtiens qui, malgré la précarité des moyens, malgré l’indigence des infrastructures, ont fait face avec les moyens du bord à l’impensable, ainsi qu’aux dirigeants administratifs, au personnel médical, au personnel infirmier, au petit personnel pour les soins accordés dans des conditions extrêmement difficiles à la population après le séisme.
L’Association Médicale Haïtienne pour tous les médecins, infirmières et aide-soignants, pour leur dévouement et leur abnegation envers la population haïtienne ce 12 janvier, qui pendant des heures, pendant des jours, sans sommeil parfois, sans repos toujours, on les a vu à l’œuvre.
Le Bureau d ‘Implication Citoyenne (BIC) pour leur implication et celle des innombrables personnes anomymes dans les multiples actions d’organisation et de coordination des secours aux sinistrés du 12 janvier.
Médecins Sans Frontières pour leur dévouement et leur abnégation. Quand le malheur frappe ils accourent au quatre coins d’un monde sans frontière. Suisses, allemands, belges, espagnols, français avec un seul objectif : soulager la douleur d’autrui.
Dr Megan Coffee pour son abnégation et son dévouement aux patients du 12 janvier et aux tuberculeux de l’Hôpital de l’HUEH depuis le séisme, après avoir tout laisser aux USA pour rentrer en Haiti juste après le tremblement de terre. Elle venait tout juste de recevoir ses diplômes et a renoncé à des offres d’emplois très interessantes pour s’installer a l’HUEH où elle s’occupe des tuberculeux, sept jours sur sept, à titre bénévole.
L’Hôpital de Jimani pour leur esprit de solidarité, l’accueil et les soins prodigués à nos compatriotes au lendemain du séisme.
Medishare pour leur dévouement et leur support continu, pour avoir, sans restrictions aucune, mis toutes leurs ressources au service de notre population.
Radio Signal FM pour leur support, les messages d’espoir à une population à genoux en face d’une telle calamité, pour son niveau de responsabilité , pour sa conscience citoyenne responsable, particulièrement dans les heures suivant le séisme.
Monsieur Sean Penn qui a laissé le confort que lui procure sa célébrité pour accepter de partager avec les déshérités du sort la vie sous la tente. Pour ses efforts, sa lutte quotidienne, son dévouement inconditionnel aux réfugiés du Camp du Pétion-Ville Club.
A également reçus la distinction « Honeur et Mérite » pour le travail énorme accompli dans des circonstances particulièrement difficile, la Radio Télévision Caraïbes.